Les marques commencent à s’en emparer pour des animations commerciales et répondre massivement à certains segments de la restauration industrielle, les chaînes hotelières, les compagnies aériennes et transatlantiques, jusqu’aux désiderata de la NASA.
La seule exigence, concernant la matière première, est de parvenir à la réduire en une matière suffisamment fine pour être imprimée. Ainsi on peut imaginer avoir de l’impression 3D chocolat, ou même de l’impression 3D viande en remplaçant l’extrudeur par une seringue et la remplir d’aliments fondus ou en pâte. Important de préciser que ces imprimantes ne créent pas de matières alimentaires, elles ne font que déposer successivement des couches de matières déjà installées.
Une imprimante 3D alimentaire représenterait un gain de place considérable lors de missions dans l’espace, dans un camping car, dans des cantines, etc.